Christine Fassert a obtenu un doctorat en sociologie à Paris 1 Sorbonne après un DEA de philosophie. Elle a travaillé dans les domaines du contrôle aérien et du militaire, et maintenant elle s’intéresse aux conséquences sociales, politiques, éthiques, de l’accident de Fukushima. La confiance est un thème qui la fascine. Elle se demande si le nucléaire est compatible avec la démocratie. Elle admire les réflexions de Georg Simmel, Charles Perrow, Jean Pierre Dupuy, et les décryptages de Stéphane Horel.