Mathias Roger est doctorant en sociologie au laboratoire de Sciences Humaines et Sociales de l’IRSN (Institut de Radioprotection et de Sureté Nucléaire), sous la direction de Soraya Boudia de l’Université Paris Descartes, Centre de recherche médecine, sciences, santé, santé mentale, société (CERMES3).

Titulaire d’un master en ingénierie des risques de l’Université Paris Descartes, Mathias Roger débute en 2016 une thèse en sociologie des sciences et des techniques dont l’objectif est de caractériser les évolutions introduites en France dans l’évaluation des risques sismiques après l’accident de Fukushima Daiichi. Il s’agit plus particulièrement d’étudier comment une situation post-accidentelle exerce une influence sur la dynamique de la régulation du risque nucléaire.