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 La Chaire accueille Laura Montoya, étudiante à l'IMT Atlantique en Master OMTI - Organisation et Management des Technologies de l'Information - à Nantes pour un stage de mars à mai 2018.

Laura travaillera sur la thématique "Risques et numérique".

Bienvenue à Laura !

 

Lors de la quatrième Soirée du Risque, organisée en partenariat avec POLLUSOLS et l'Institut Kervégan, Joël Knoery nous a présenté ses recherches sur le Mercure.

Thibault Dumas, journaliste indépendant a couvert la soirée. Accéder au compte-rendu, à l'interview audio de Joël Knoery, ainsi qu'au diaporama de la Soirée sur le site de l'Institut Kervégan.

http://www.institut-kervegan.com/actualite/mercure-la-saga-du-metal-vif-argent-devenu-polluant/#sthash.q6dKaL8B.dpbs

© Thibault Dumas

 

> Visualiser la présentation de Joël Knoery, lors de cette soirée, au format PDF

 

"Le mercure, histoire d'un allié devenu ennemi 

de l'avancée technologique à la pollution diffuse"

 

Le 14 février 2018, à l'Insula Café, à 19h15 aura lieu la 4ème édition des "Soirées du Risque" : cycle de causeries citoyennes proposées par la chaire RITE en partenariat avec l'Institut Kervégan et le réseau POLLUSOLS.

Joël Knoery, chercheur à l'IFREMER, nous présentera lors de cette soirée ses travaux sur le mercure.

Cette première soirée du risque de l’année 2018 vous invite à explorer le monde du mercure à travers son histoire et son impact sur l’environnement.  

Nous connaissons tous Mercure, dieu des marchands et des voleurs dans l’antiquité Romaine. Aujourd’hui, ce métal identifié surtout pour sa toxicité est encore utilisé dans certains produits de soin et de santé. Ses propriétés uniques l’ont rendu extrêmement bénéfique pour un large éventail d'activités humaines. Malheureusement, à cause de sa large utilisation, il est désormais présent partout dans l’environnement.

A partir de résultats de recherches menées dans le monde et d’exemples pris en Pays de la Loire, Joël Knoery, chercheur à l’Ifremer vous propose de guider votre regard sur le mercure, ce mystérieux métal qui « monte  quand il fait chaud ». D’autre part, l’actualité scientifique très récente a pu montrer que la surexposition moyenne des femmes enceintes françaises au mercure est en légère baisse, mais toujours plus importante que dans les pays européens consommant moins de produits de la mer.

Joël Knoery, nous présentera tour à tour l'histoire des utilisations du mercure, de technologies qui l'utilisent, et des risques associés à son omniprésence dans l’environnement.

 

1000 chercheurs KNOERY Joel

Joel Knoery est chercheur en océanographie basé depuis près de 25 ans à l’Ifremer. 

Il a d’abord travaillé sur les gaz à effet de serre, sur les volcans sous-marins et leurs sources hydrothermales, et se consacre aujourd’hui au mercure en milieu marin. 

Pour ses travaux, il a passé plus d’un an en mer et navigué sur les principaux océans du globe.

 

 

Photo (c) P. Maraval et tirée du livre 1000 visages de chercheurs.

 

  Insula Café – 47 Rue la Tour d’Auvergne, Ile de Nantes
Les échanges seront suivis d'un cocktail dinatoire.
Entrée libre sur Inscription
 logos

 

 

APPEL À COMMUNICATIONS


Journées du Risque 2018 - Chaire RITE


"Escales autour du numérique"

Cité des Congrès de Nantes
11 et 12 septembre 2018

 logo journee du risque

 

 
La question du changement numérique engendre aujourd’hui un ensemble de discours sur l’usine du futur, la co-robotique, l’entreprise digitalisée, libérée, annonçant par là même une révolution à venir quant aux modes de conception, production et de consommation. Ces mutations majeures préfigurent des bouleversements qui concernent la nature des objets, la façon de délivrer un service, les nouvelles formes d’organisation, voire l’essence même du travail. Avec la montée en puissance de l’Internet des objets et l’explosion de la connectivité, les technologies deviennent accessibles et intégrables dans tous les domaines du grand public ou des entreprises. Au cœur de cette évolution, de nouveaux écosystèmes numériques intersectoriels traitent des données d’origines multiples et donnent naissance à de nouveaux services et de nouveaux usages.
 
Nombre de secteurs industriels sont directement concernés par la transformation numérique et ses impacts sur la relation de service. Mais plus largement, les
changements sociétaux et l’appétence citoyenne pour des formes de travail participatives et collaboratives invitent à penser conjointement changement technologique et transformation sociale. Si chacun ressent la nécessité de s’engager activement dans cette transformation, en mesure l’impact sur les organisations et les cultures professionnelles, ses effets sont encore peu anticipés et mis en discussion au sein des organisations.
 
L’objet du colloque porte précisément sur l’évolution des flux, des métiers et des organisations dans un contexte de changement technologique à venir. Il s’agit de mettre en discussion les avancées industrielles, les retours d’expérience issus de l’entreprise avec les regards des chercheurs sur ces évolutions en cours.


L'appel à communications concerne 4 thématiques :

- Innovations technologiques et nouveaux modes de production

- Les organisations de demain

- Le travail à l’ère du numérique

- Nouveau monde industriel, nouvelle société?

 
 
 

 

L'Observatoire Midi-Pyrénées vous annonce le mardi 12 décembre,

- un Grand Séminaire à 11 h

- suivi d'une Soirée Scientifique à 20h, "Risques et environnement : regard sociologique sur les mines d’uranium françaises"

 tous deux présentés par Sophie Bretesché, enseignante-chercheure en sociologie au Laboratoire d'Économie et de Management de Nantes Atlantique (LEMNA) et au Département Sciences Sociales et de Gestion de l'IMT Atlantique de Nantes.

Les enjeux liés à la reconnaissance d'un patrimoine spécifique se posent avec force concernant les sites miniers uranifères. La notion est en effet utilisée dans la perspective d'une prise en charge du suivi des sites de longues périodes, c'est-à-dire le suivi et la transmission aux générations futures de l’héritage de l’exploitation d'uranium. A ce titre, elle met en scène deux registres : à la fois la prise en compte des effets de l'exploitation et leur gestion pérenne et de l'autre, la transmission de connaissances dans une perspective sur de long terme. Elle se distingue ainsi du processus de patrimonialisation observé dans les cas des mines de charbon qui au fil de l'histoire a connu un processus de protection, d'interprétation et de création culturelle.
A la différence du patrimoine minier au sens classique du terme, les sites uranifères ont été exploités sur une période beaucoup plus courte de l'histoire : trente-quatre ans d'un côté contre deux siècles d'industrialisation concernant le charbonnage par exemple. Les traces d'uranium révèlent également deux cadres temporels qui se sont succédé voire superposés. L'exploitation a été effacée du territoire sur le mode de l'oubli dans la perspective d'un retour à l'état de nature. Le temps de la surveillance qui se met en place à partir des années 90 délimite son propre espace- temps. Les traces visibles de l’exploitation sont effacées et la mesure prend comme point de référence la fin de l'exploitation. Pour autant, les restes d'uranium sur le territoire témoignent des pratiques du temps passé et ravivent le cadre temporel de l'exploitation. Les associations de défense de l’environnement comme les élus en appellent à la mémoire du lieu pour réinscrire les traces d'uranium dans l'histoire du territoire. Ils mettent en question le patrimoine et renvoient à deux cadres temporels distincts, celui de l'époque glorieuse, épique de l'exploitation de l’uranium en France et de l'autre, celui d'une gestion environnementale qui dénonce la trace indélébile laissée par le nucléaire.

 

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